La Frénaye en bref
Département : Seine-MaritimeCode postal : 76170
Population : 0 habitants
Région : Haute-Normandie
Arrondissement : Le Havre
Canton : Lillebonne
Histoire de La Frénaye
Ce village se trouve sur une ancienne voie romaine qui va de « Juliobona » Lillebonne à « rotomagus » Rouen. Une autre voie romaine reliant « Breviodurum » Brionne, à « Mediolanum » Evreux, traverse également La Frenaye. Origine du nom de La Frenaye : de fracsineta, issu du latin fracsinus, lieu où poussent les frênes. Une légende raconte que Jules César, le vainqueur des Gaules aurait reçu un message lui annonçant que la ville la plus proche, « Juliobona » venait d’être submergée et détruite par un tremblement de terre. Ne voulant croire en un tel désastre, il enfonça son bâton de commandement dans le sol en criant : si cela est vrai, qu’ici au lieu du bâton pousse un frêne, mais ceci reste une légende. La période gallo-romaine est souvent évoquée dans l’histoire de notre région, de nombreux vestiges ont été retrouvés des fouilles ont mis au jour les fondations de deux postes militaires protégeant les voies romaines. Une ferme encore exploitée à ce jour, porte le nom de ferme de la Lionnière, cette ferme reliée par un tunnel à l’amphithéâtre de « Juliobona » aurait été utilisée pour y garder les lions ou autres animaux sauvages présentés lors des fêtes organisées dans cet amphithéâtre. La période révolutionnaire et les évènements de 1789 n’ont laissé que peu de trace, et de la réaction des Frenaysiens aux évènements parisiens du 14 juillet, il ne reste pas de témoignage direct. La république est proclamée à Paris le 21 septembre 1792, à La Frenaye la première trace perfectible du changement de régime, est l’inscription nouvelle dans le registre des délibérations du conseil général de la commune :« Ce jourd’huy dimanche septième jour d’octobre mil sept cent quatre vingt douze, l’an 1er de la République[citation nécessaire] »
Le 1er août 1914 verra la mobilisation de 60 pères de familles et de jeunes gens, 30 furent tués et cinq portés disparus. En 1939, les soldats sont mobilisés, en 1940 l’exode des Fenaysiens atteint son maximum, les rumeurs sur les exactions allemandes les effraient. Durant cette période de nombreux soldats Frenaysiens furent emprisonnés en Allemagne ou furent réquisitionnés pour le STO (Service du travail obligatoire). Vers le 30 août 1940, les allemands ont quitté La Frenaye.
source : Wikipedia
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